>joies mongoles !

> Mettre le son de la télé au maximum dans la chambre d’hôtel pour ne pas entendre l’autre faire pipi.
> Dormir sous la tente et guetter tout la nuit les grognements du chien.
> Plonger la main dans l’eau de la cuvette des toilettes pour repêcher la chasse d’eau.
> Se faire ronfler dessus dans un bus.
> Commencer à se laver les mains avec du savon puis constater une coupure d’eau.
> Être assise sur un moteur en surchauffe pendant 4 jours et se convaincre qu’il s’agit d’un radiateur pour avoir l’esprit plus tranquille.
> Être obligée de manger une tête de chèvre car on l’a tuée en votre honneur.
> Participer à la chasse d’une espèce protégée en pensant naïvement qu’on va la relâcher ensuite.
> Dormir dans une chambre d’hôtel miteuse juste à côté d’un interrogatoire de la mafia locale (mais à minuit ils s’arrêtent pour laisser les gens dormir).
> Essorer son pantalon après 3 rinçages et constater qu’il s’en échappe encore du jus de poney.
> N’avoir plus qu’une boîte de thon à manger au milieu de nul part, durant une panne de bus.
> Oublier 2 secondes que l’eau du robinet n’est pas potable et se laver les dents avec. Diarrhée viens à moi !
> Faire pipi au milieu de la steppe bien dégagée lorsque tout un bus vous attend pour repartir (et qu’on est, il faut bien l’admettre, une fille).
> Rouler à 10km/h dans les descentes, après 4 jours de route, lorsqu’il ne reste plus que 50 kilomètres à parcourir.
> Découvrir avec stupéfaction que l’unique chanson française connue en Mongolie est « Hélène et les garçons ».
> Planter sa tente dans un endroit idyllique et très isolé. Puis être prévenue de la possibilité de croiser des loups, des ivrognes errants et des voleurs dans ce même endroit.
> Aller aux toilettes en plein air, dans le froid matinal. Faire pipi sur une ribambelle de cacas kazaks figés par la rosée en révélant toute leur senteur.
> Avoir ajouté un jour et une nuit à son trajet en bus à cause d’une panne d’essence. Arriver à destination. Monter dans un taxi et tomber en panne d’essence.
> Boire une vodka cul sec en famille puis laisser fortuitement échaper un rot tonitruant.
> Prendre une chambre d’hôtel à minuit, fermer la porte à clef. Se faire réveiller à 1h du matin par les propriétaires de l’hôtel et se rendre compte que plus personne n’arrive à ouvrir cette porte.
> Se faire prendre son sac à dos en otage par un chauffeur de mini-van réclamant de l’argent bonus pour sa course.

2 commentaires

  1. nicois says:

    voila, ça c’est de l’aventure, du vécu, quoi… c’est quand l’odorama, non, je plaisante..
    contents d’avoir de vos nouvelles, belles photos ; vivement les prochaines photos
    gros bisous

  2. nicois says:

    coucou les filles, où êtes-vous aujourd’hui ?
    Ici, week-end de la Toussaint, chouette, lundi, on ne travaille pas ;
    Ici, il fait bon, la fenêtre est ouverte, bref nous sommes sur la Côte ;
    bisous à vous deux

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